Seduti sui gradini di una grande
piazza italiana
...
Assis sur les marches d'une grande
place italienne
tandis que l'obscurité s'en allait
et qu'arrivait du large
le premier souffle de vent
....................................il a vu
venir l'aube sur ton visage
(oh tu ne sais pas ce que c'est...)
et tes yeux s'alanguir et devenir plus beaux.
Ainsi il a pu t'avoir,
...........................à lui
mais infiniment.
Remontant en voiture
la rangée de maisons tombant sur la mer
a dû lui paraître de flammes,
le feu clair des journées
que tout voyageur d'amour
peut entrevoir.
Davide Rondoni. Un bonheur dur. Ed. Cheyne